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J'ai fait ce dessin pour une amie, qui m'avait demandé de dessiner latias, latios et luxray, puisque se sont ses trois pokemons préférés. Je l'ai fini ce matin, au lieu de réviser le bac de SVT (de toute façon, vu ce qu'ils nous ont sorti, c'était pas la peine), et je le lui ai déjà donné.
Le dessin étant assez grand, j'ai dû prendre des photos, donc la qualité n'est pas génial.
Bref, voilà le dessin :
Plus en détails :
Luxray, Lixy et les rochers :
Latias et Latios :
En plus, j'ai fait un petit dessin derrière en guise de signature :
Sinon, je me suis amusée à tout noircir avec photofiltre, et ça donne ce qui suit. Personnellement j'aime bien, mais après...
En tout cas, je suis contente de l'avoir fini ! J'ai bien dû y passer six heures, au total.
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Sasha27 m'a donnée l'idée de dessiner un phasme à tiare (ou phasme scorpion), donc j'en ai fait un assez vite.
Pour information, les phasmes à tiare sont originaires d'Australie, aiment manger ou de l'eucalyptus ou des ronces. La femelle mesure une douzaine de centimètres (d'ailleurs c'est une femelle que j'ai dessinée), et ressemble plus ou moins à un scorpion à cause de son abdomen recourbé, ce qui lui permet d'intimider ses prédateurs.
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Avant de commencer à travailler en vue de l'orale du bac, nous avons fait un certain nombre de dessin qui n'avaient rien à voir.
Au début de l'année, nous devions faire un travail portant sur le lycée. Au départ, le mien partait bien, mais à cause de ma maladresse légendaire, il a mal fini : j'avais eu la mauvaise idée de le faire aux crayons de couleur aquarellables (parce que je n'en ai pas d'autres) et, alors que j'avais presque fini, j'ai renversé un pot plein d'eau noirâtre dessus... Au final, j'ai vaguement pu le rattraper, mais bon...
Donc ça a donné ça :
Heureusement, j'avais pris quelques photos avant la catastrophe, donc ça donnait ça :
Plus en détails :
Sur le coup, ça m'avait tellement déprimée, cette histoire... Enfin, ce sont des choses qui arrivent, donc tant pis.
Après, il fallait faire une planche sur "un tremblement sensible de couleur et de lumière" (ou quelque chose s'en approchant, j'ai oublié les termes exacts).
Je suis partie de l'idée de faire un dessin quelconque, de le chiffonner, de le déplier puis de rajouter de la peinture au hasard dessus, de façon à ce que les "creux" restent blancs, et que donc l'on obtienne une fragmentation des couleurs et des blancs (qui font office de lumière), d'où un tremblement. J'aimais beaucoup faire ce genre de chose avec des crayons quand j'étais en primaire.
J'ai commencé par tester l'idée en cours, et j'ai obtenu ça :
Comme le résultat me plaisait, j'ai fait la planche finale chez moi, avec cette fois-ci tous mes outils pour la peinture chinoise (papier, pinceau, peinture).
J'ai commencé par peindre les fleurs :
Puis j'ai tout chiffonné :
J'ai déplié :
Et j'ai rajouté la peinture. A la fin, j'ai obtenu ça :
Ce que est amusant, c'est que les couleurs changent un peu quand on le tient contre une vitre :
Mis à part ces deux travaux, j'ai aussi fait d'autres dessins, mais cette fois juste pour m'amuser, ou pour essayer des outils que je n'utilise pas habituellement.
J'ai essayé les craies, et je me suis amusée à mettre de l'eau par dessus :
Ou encore, mis plein de point au hasard sur une feuille :
Enfin, une fois j'ai dessiné une plante à la va-vite :
J'ai aussi fait de l'aquarelle avec des arbres dans tous les sens :
Voilà, c'est tout ce que j'ai fait en un an. Il faut dire que l'on papotait beaucoup plus que l'on ne peignait.
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Comme l'indique le titre, cet article va contenir les peintures chinoises que j'ai faites en grand format - et qui donc ne passaient pas au scanner. Je m'excuse pour la qualité des photos. Comme d'habitude, cliquez sur les images si vous voulez les voir en plus grand.
La première date d'il y a plusieurs mois, et n'est pas dans le style que j'utilise habituellement. Elle représente des chrysanthèmes :
Plus en détails :
De grands bambous à l'encre :
Avant que je n'ai mis les feuilles :
Et pour finir, une branche de prunus, à l'encre elle aussi :
Les fleurs plus en détail :
Et voilà, c'est tout !
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Pour l'option bac, il faut présenter six planches sur un thème que l'on a soi-même choisi. Personnellement, j'ai pris le rêve et tout ce qui s'y rattache (rêverie, cauchemars, illusions, labyrinthe, l'inconnu, le changement incessant et spontané...).
Ne vous attendez pas à des dessins extraordinaires : non seulement je les ai fait à la va-vite, mais en plus les photos sont de mauvaise qualité, ce qui n'arrange rien.
Ma première planche est sensée représenter une sorte de rêverie, le moment où l'on regarde au loin et où l'ailleurs (et le rêve, donc) nous attire :
J'ai pris le plus grand format possible (raisin, donc), pour exprimer l'idée de l'ailleurs inaccessible (car loin).
J'avais fait un croquis avant, et j'avais pris une photo avant de finir le dessin, donc :
(à gauche le croquis, à droite la planche inachevée)
Le seconde planche porte, elle, sur l'entrée dans le rêve à proprement parler. C'est pourquoi son thème principal est la métamorphose, tant au niveau des formes que des techniques utilisées.
Plus en détails :
Deux phasmes, de l'espèce Aretaon bruekneri :
Un personnage, qui a des ailes de sauterelle, des bras de mante religieuse, un buste de papillon, et des ailes de coléoptère qui lui recouvrent les hanches :
Un papillon (un gazé, celui avec des ailes à moitié transparentes) :
Un morceau de dragon :
Un bâtiment, inspiré d'un temple se trouvant au Vietnam :
Des arbres à l'envers :
La troisième planche exprime davantage le cauchemar : le personnage se trouve face à trois entrées, et il lui faut choisir :
La quatrième est le prolongement de la troisième : on retrouve les mêmes couleurs, ainsi que la thématique du labyrinthe (et du fil d'Ariane). Par contre, l'illusion devient le thème principal (avec, par exemple, la présence de deux fils qui ne sont, ni l'un ni l'autre exactement le bon, puisque l'un est la langue d'un espèce de serpent, et l'autre n'est pas vraiment rouge (mais il est réel et non peint).
Je l'ai faite sur des taies d'oreiller découpées et recousues :
Plus en détaille :
L'avant-dernière planche quitte le cauchemar et bascule dans l'illusion pure. N'étant qu'illusion, elle n'existe que dans un format immatériel (donc sur ordinateur) qui lui permet, en plus, de rester lumineuse en toutes circonstances. Par ailleurs, elle possède non seulement une limite double (plusieurs limites, donc elles se brouillent, la vraies ne se distingue plus de la fausse, d'où illusion) mais elle est aussi son propre reflet, de façon à ce que l'original ne se distingue plus du reflet (qui lui n'est pas réel) :
Vous vous souvenez de ces deux planches, et du fait que j'avais bidouillé des trucs sur photofiltre à partir d'elles ?
Eh bien, la planche au-dessus est le résultat (et la fin) de ce bidouillage (si vous cherchez, vous pouvez retrouver l'arbre, le soleil, les nuages, le bâtiment et l'herbe).
Enfin, le dernière planche est un retour aux sources : à nouveau la rêverie, à nouveau des bulles, à nouveau un format raison. Par contre, il porte aussi sur l'infinité du rêve, sur son absence de fin et le fait que ce qui suit ne peut être prédit. Par conséquent, le dessin à un aspect inachevé (d'ailleurs il ne m'a fallut qu'une heure pour le faire), et possède beaucoup de blanc, laissant aux changements spontanés et imprévisibles du rêves la possibilité de se faire.
(c'est le dessin qui est le moins bien passé à l'appareil photo)
Plus en détail, et un peu moins flou :
Et voilà, j'ai tout montré !
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